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DLR en pointe dans "La Bataille Hadopi"
14/11/2009 11:01
"La Bataille Hadopi" est un livre collectif qui relate, sous la plume des nombreux acteurs engagés contre la loi imposée par l’Elysée, prévoyant la coupure de l’accès à internet en cas de téléchargement illégal.
NDA, mobilisé sur cette question depuis la loi DADVSI de 2005, a participé, à travers un article, à la rédaction de l’ouvrage, publié par l’éditeur équitable Inlibroveritas, bien connu des adhérents et amis de DLR depuis la parution du Petit Livre mauve durant la campagne européenne.
Retrouvez les images de cette soirée et l’enregistrement audio de la conférence de presse donnée par les principaux intervenants, dont le président de DLR.
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L'aprés De Gaulle
13/11/2009 09:22
L'Après-de Gaulle. Notes confidentielles, 1969-1989,
de Jean Mauriac
Edition :Fayard, Paris,
Année : 6/9/2006
540 pages
Le Mot de l'éditeur :
Jean Mauriac est entré à l'AFP en 1944, ou il a effectué toute sa carrière de journaliste politique. Affecté dès la Libération auprès du général de Gaulle, il ne l'a plus quitté jusqu'à son départ du pouvoir en avril 1969, occupant à son côté durant vingt-cinq ans une place de témoin privilégié. Très lié à la famille gaulliste, le fils de François Mauriac est resté jusqu'à la fin de sa carrière, en 1988, l'ami et le confident de la plupart des grandes figures de la Ve République d'Olivier Guichard à Jacques Chaban-Delmas, de Raymond Barre à Michel Jobert. Son livre est issu des multiples entretiens " confidentiels " qu'il eut, de 1969 à 1989, avec les principaux acteurs des septennats de Georges Pompidou, Valéry Giscard d'Estaing et François Mitterrand. Racontant de l'intérieur les grandes péripéties politiques qui ont marqué l'histoire de cette période, il nous plonge au cour des drames et des conflits qui ont déchiré les gaullistes après le départ du Général. L'après de Gaulle fourmille de révélations sur l'affrontement de Gaulle-Pompidou, les véritables raisons de la défaite de Chaban en 1974, la guerre Giscard-Chirac et les complots du RPR qui ont facilité, en 1981, l'arrivée de la gauche au pouvoir ainsi que sur l'histoire de la première cohabitation. Chronique de toutes les dérives qui ont conduit à la déliquescence de nos institutions, l'ouvrage de Jean Mauriac exprime à la fois la nostalgie et la colère d'un gaulliste qui assiste au retour du régime des partis, au jeu effréné des ambitions et des trahisons, à l'effacement imposé des gaullistes authentiques au profit des clans et des appareils. Témoignage politique de premier ordre, ces " notes confidentielles " apparaissent aujourd'hui d'une saisissante actualité.
Historien et écrivain, Jean-Luc Barré a collaboré à l'édition des Mémoires du général de Gaulle dans la Pléiade. Auteur, entre autres, de Devenir de Gaulle (Perrin, 2003), il a publié aux Editions Fayard en 2005 une biographie très remarquée de Dominique de Roux. Il prépare une biographie de François Mauriac.
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Les heures sombres
13/11/2009 08:56
C'est la saison des impôts locaux qui nous arrivent progressivement dans nos boîtes. Et que voyons nous, une nouvelle fois une augmentation injustifiée puisque la qualité de service rendu aux contribuables héninois est aux abonnés absents. Une nouvelle fois le contribuable reste impuissant devant cette réalité. Certains Partis essaient de se saisir de l'occasion pour se faire le héraut des contribuables excédés. A ce propos, DLR Hénin Beaumont ne prendra pas part à la manifestation des contribuables Héninois organisés par le « Nouvel élan ». Nous pensons en effet que ce type de manifestation n’aura aucune utilité puisque tout est déjà acté : les Héninois paieront de nouveaux la note. De même que nous ne soutenons pas l’initiative du FN concernant une pseudo - pétition qui servira plus à alimenter les bases de données du mailing du FN que de faire infléchir l’administration fiscale. Enfin, nous notons le manque d'audace de l’actuelle municipalité qui a refusé de voter le budget préfectoral, arguant du fait qu’il est le résultat de la gestion de l’ancienne municipalité. Certes, mais en demandant le suffrage des héninois, cette même majorité se devait d’accepter l’héritage pour mieux le gérer. Cela n’aura pas été fait. Dont acte, elle sera d’autant plus jugée sur son budget propre à venir. Et là, faute de résultats, plus rien ne lui sera épargnée. La seule chose qui nous désole, et que personne ne semble se soucier, c’est la fuite des foyers fiscaux de notre ville, phénomène qui tend à devenir inexorable (- 50% étant des héninois imposables). Ajoutez à cela la suppression de la taxe professionelle, initiée à la légère par l'UMP, sans concertation avec les collectivités territoriales. Bref, encore des heures sombres à venir pour les contribuables héninois !
Le comité DLR
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Commentaire de contribuables en colère (16/11/2009 14:10) :
http://heninelectionsmunicipales2009.vip-blog.com
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L’inexorable recul de l’ordre républicain
13/11/2009 08:07
La sécurité publique, et plus généralement le maintien de l’ordre républicain, est la première des libertés, ainsi qu’on l’entend si souvent rappeler. A juste titre.
Hélas, le gouvernement actuel, là comme ailleurs, a tendance à se réfugier derrière des propos martiaux ou des satisfecit pour faire oublier l’insuffisance criante de ses résultats, lorsqu’il ne s’agit pas de la baisse délibérée des effectifs de sécurité publique au nom d’une politique à très courte vue de maîtrise de la dépense publique (RGPP) ! Après la volonté de rupture affichée par le candidat Sarkozy en 2007, on a vraiment l’impression, ainsi que je l’écris aujourd’hui dans le magazine Valeurs Actuelles (tribune accessible sur le site de Debout la République), à un retour en catimini de la pensée unique.
Au-delà des statistiques, que les stratèges de la communication politique s’emploient si bien à travestir, il y aussi les exemples concrets observés dans la vie courante.
Ainsi, dans une ville de ma circonscription en Essonne, un trafiquant de drogue a été interpellé par les services de police, dont je tiens ici à saluer la ténacité et l’efficacité. Passé en comparution immédiate, il a écopé d’une peine de 30 mois de prison (dont 10 fermes) et d’une amende de 4000 €, ce qui n’est pas cher payé vu la gravité des faits reprochés : trafic de stupéfiant, détention d’armes et d’une somme suspecte de 20 000 € en espèces. Pire, on est en droit de s’inquiéter après l’adoption toute récente de la loi pénitentiaire, qui prévoit la conversion automatique en peines de substitution des condamnations à moins de deux ans de prison ferme !
De même, l’argent a été confisqué lors de la perquisition au domicile du trafiquant, mais… a été restitué au père, qui prétend qu’il lui appartient ! Mais détient-on plusieurs dizaines milliers d’euro en liquide à son domicile ?!
Cet exemple n’a bien sûr aucune commune avec des situations beaucoup plus graves que l’on peut observer dans le nord de la région parisienne. Je signale à cet égard une enquête passionnante et surprenante publiée par le quotidien Libération il y a quelques semaines, révélant comment une bande de jeunes trafiquants de drogue met en coupe réglée des quartiers de la ville de Sevran, en Seine-Saint-Denis : cette bande fait quasiment la loi dans la cité au vu et au su des autorités, obligeant les habitants à se terrer chez eux et même parfois, pour les plus fragiles d’entre eux, à accepter de voir leur domicile servir de « dépôt » aux trafiquants, en contrepartie de la « protection » de ces derniers !
A propos de la Seine-Saint-Denis toujours, territoire de la République décidément en terrible déshérence, le quotidien Le Monde a récemment appris à ses lecteurs que les services de l’Etat sont impuissants à empêcher une immigration clandestine ou semi-clandestine massive, le pourcentage de non-nationaux atteignant jusqu’au tiers de la population de certaines communes !
Le renforcement continu de ces ghettos ethniques est totalement alarmant et rend bien dérisoire des débats sur « l’identité nationale » que le gouvernement, pendant ce temps-là, se targue d’organiser.
A cet égard, les prochaines élections régionales ne doivent pas seulement être l’occasion de mettre sur la table les dossiers cruciaux des transports et de l’emploi. Il faudra aussi parler ordre républicain pour qu’enfin on vienne en aide à toutes ces populations abandonnées de la République…
NDA
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Contribution au débat sur l’identité nationale
13/11/2009 08:01
Par Henri Temple, avocat, universitaire, auteur de « Réalités et nécessité de la nation au XXIème siècle (essai à paraître)
L’identité d’un groupe humain, c’est la dominante majoritaire, le « caractère permanent et fondamental » qui le constitue (v. Larousse). L’identité sociale, c’est, pour un individu, « la conviction d’appartenir à un groupe social, reposant sur le sentiment d’une communauté géographique, linguistique, culturelle, et entraînant certains comportements spécifiques » (Larousse).
Lorsque l’individu n’a pas (plus) cette conviction, la société devient anomique, inefficace, triste et stressante. En effet, l’identité sociale est une grande part de notre identité personnelle. Nier le « nous » serait nier le « soi ». Si l’individu a la conviction de ne pas (plus) appartenir au groupe social national, il y a alors repli communautariste et donc risque de déstructuration de la société, voire d’affrontements.
L’identité sociale (et donc l’identité nationale), est un facteur irremplaçable de sécurité, de solidarité, d’intégration, et tout simplement de bonheur.
L’identité nationale non seulement existe mais encore est essentielle, au sens exact du terme, car une nation n’existe que par son identité. L’identité d’une nation, c’est ce qui lui permet de se distinguer parmi les peuples, à ses yeux et à ceux des autres nations.
La nation se rassemble au sein de cette identité par un affect majoritaire partagé et un consensus rationnel, afin de choisir démocratiquement les valeurs communes, l’intérêt général et le patrimoine historique collectif à défendre ensemble. Et c’est, aussi, la fusion nationale qui nous fait partager les joies, les épreuves, les nécessités communes,et encore les défis et les angoisses de l’avenir ;l’identité nationale,seule,peut rassembler, pour un projet commun,et même,dans notre inconscient collectif, pour cultiver un idéal ,des rêves pour l’humanité ...
La nation est, pour chaque peuple, le fondement de son indépendance et de ses libertés (argument art.3 Déclaration droits de l’homme ,1789). La nation a, seule, le droit de disposer d’elle même (art.1° Pacte des Nations Unies sur les droits civils et civiques).
S’il y a nation, elle a forcément une identité ; en refusant le débat sur l’identité nationale, est-ce la nation que l’on veut nier ?
Il est donc particulièrement anti-sociologique, anti-social, anti-scientifique et anti-démocratique de contester un débat sur l’identité nationale de quelque nation que ce soit.
Faudrait-il que seule la France n’ait pas d’identité ?
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